Le tableau des noeuds est constitué de 5 colonnes :

  • une pour la numérotation des noeuds : cette colonne est verrouillée en écriture. Le numéro du noeud est géré par Freelem .
  • 3 pour les coordonnées en mm (X,Y,Z) des noeuds
  • 1 pour la définition des éventuels blocages : les blocages sont récupérés dans la table "APPUIS" de la base ACCESS (cf Catalogues>Appuis)

 

 

Le tableau des barres est constitué de 12 colonnes :

  • 1 pour la numérotation des barres : cette colonne est verrouillée en écriture. Le numéro de barre est géré par Freelem .
  • 2 pour définir les noeuds-extrémités
  • 1 pour définir le profilé. La liste des profilés est celle de la table des profilés du fichier Access « base.mdb » (ex. table OTUA), ou celle de la combobox de présélection dans le catalogue des profilés. Astuce pour définir rapidement le profilé : cliquer une fois sur le combobox, et taper au clavier la 1ère lettre du profilé recherché (exemple : U pour UAP). Utiliser si besoin est les flèches pour sélectionner le bon fer.
  • 1 pour définir les liaisons : "Enc-Enc", "Art-Art", "Enc-Art" ou "Art-Enc". Enc signifie encastré, Art articulé. La plupart des éléments sont "Enc-Enc". Certains éléments particuliers, tels que les contreventements qui travaillent en traction/compression uniquement, sont à définir avec "Art-Art".
  • 1 pour définir le matériau. La liste des matériaux est celle de la table "MATERIAU" du fichier Access « base.mdb »
  • 1 pour définir l'angle du profilé
  • 3 pour les longueurs d’instabilité (longueur de flambement dans le plan d’inertie forte Lfy, longueur de flambement dans le plan d’inertie faible Lfz, longueur de déversement Ldev = longueur maximale entre maintiens latéraux par aile supérieure ou aile inférieure)
  • 1 pour le modèle théorique de déversement (utile uniquement pour les calculs suivant Eurocode3)
  • 1 pour activer la checkbox Auto (Auto à longueurs d’instabilité = longueur de la barre)

 

 

 

  • Le tableau des charges est constitué de 11 colonnes, dont :
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  • 1 pour la numérotation des charges. Le numéro de charge est géré par Freelem .
  • 1 pour le nom du chargement (chaîne de caractères)
  • 1 pour définir le type de chargement : Nodal, Accélération, Linéique, Linéique local, Dilatation thermique ou Séisme (cf paragraphe § 6.6.4)
  • 1 pour définir la localisation : noeud pour chargement nodal, barre pour tous les autres. Les différents noeuds ou barres chargés dans le même cas sont séparés par le caractère "/". Si vous voulez par exemple charger les noeuds 1, 4 et 5 dans un même chargement nodal, vous définirez comme localisation 1/4/5. Si vous voulez charger tous les noeuds ou toutes les barres pour un chargement donné, il suffit de définir comme localisation "tout" (sans les guillemets).
  • 6 pour définir les valeurs de chargements : 3 efforts en N et 3 moments en N.m pour les chargements nodaux, 3 efforts linéiques en N/mm pour les chargements linéiques (moments grisés), 3 accélérations en g pour les chargements de type accélération (moments grisés), et 1 coefficient de dilatation thermique α exprimé en mm/m. Les chargements "Nodal", "Accélération" et "Linéique" se définissent dans le repère global de la structure.Le chargement "Linéique local" se définit comme le nom l'indique dans le repère local des barres chargées. Le chargement "Dilatation thermique" est quant à lui implicitement dans le repère local des barres chargées (puisqu'il correspond à des efforts axiaux).
  • 1 pour le niveau de vérification, selon code choisi (ex. 0AB/C/D pour le RCC-M).
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  • Exemple de chargements modélisables :
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  • Tuyauterie fixée
  • Neige et vent
  • Poids propre
  • Séisme par analyse statique *
  • Chargement thermique, déplacement imposé
  • Chargement nodal
  • Chargement linéique
  • Accélération
  • Dilatation thermique
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  • * Pour une analyse sismique par méthode spectrale, choisissez un chargement de type « Séisme ».

 

 

  • Le tableau des combinaisons est constitué d'un nombre non limité de colonnes.
  • Chaque clic sur le bouton "Rajout colonnes" permet de générer 2 colonnes supplémentaires : une colonne pour définir un nouveau cas de charge, et une pour les coefficients associés (1 par défaut).
  • Il est également possible d’intercaler des lignes entre des lignes existantes (« Insertion ligne » à l’utilisateur indique le numéro de la ligne après laquelle la nouvelle ligne doit être insérée).
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  • On retrouve sinon les mêmes principes que pour les autres tableaux.
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  • Les combinaisons peuvent s’effectuer de manière linéaire, absolue ou quadratique, et peuvent faire appel à des combinaisons précédemment définies.